Décidement, la politique internationale peut bien être traitée par les leaders de nos partis politiques. Ou un peu mieux, tous peuvent discuter des affaires internationales et de l'actualité et de nouvelles opportunités de partenariat, sauf Michel Aoun.
"Saad al-Hariri, the leader of Lebanon’s Western-backed parliamentary majority, told Russian daily Vremya Novostei on Nov. 10 that Lebanon would start establishing contact with the Russian-backed Georgian separatist republics of South Ossetia and Abkhazia, and that the issue of recognizing the two republics would be decided at the top level of the Lebanese government."
Le journal cité est malheureusement qu'en russe, donc je n'ai pas pu chercher pour m'assurer de la véracité de cet article. En revanche, indépendamment de ceci, dire qu'on penserait à reconnaître l'indépendance de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie reviendrait à remettre en cause la raison d'être du Liban... Sans parler du fait accompli de Hariri qui dit que les canaux diplomatiques s'ouvriront avant même que le ministère des affaires étrangères le fasse...
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